Les qualités à développer pour travailler dans le secteur du luxe

Pénétrer l’univers du luxe et travailler dans la mode, la joaillerie ou encore l’hôtellerie de luxe, requiert des qualités spécifiques que l’EIML Paris, Grande Ecole spécialisée dans le domaine du luxe, aide à développer tout au long du cursus.

 

Qualités pour travailler dans le luxe

 

Etre boulimique du luxe 

L’univers du luxe possède sa propre histoire et ses propres codes. Ouvrir les yeux, se connecter à l’actualité, faire des rencontres, oser poser des questions et arpenter les beaux quartiers de la capitale sont autant de réflexes qui permettent d’alimenter sa culture du luxe. Etre Inspiré permet de progresser dans ce milieu. Pour cela, l’EIML Paris organise des ateliers du luxe : les étudiants profitent chaque semaine de visites de boutiques ou d’ateliers. Ils participent également à des conférences métier ou stratégiques. Développer sa curiosité est un atout pour évoluer dans le domaine du luxe !

 

Faire preuve d’humilité

Travailler dans le domaine du luxe exige de l’humilité. Il faut apprendre à rester simple et discret, deux qualités relatives à cet univers, qui est empreint de modestie. Il s’agit de laisser sa place au « beau » et de le valoriser. Ce positionnement, est inculqué par l’EIML Paris, dont l’objectif est de transmettre aux étudiants un bagage marketing, commercial, culturel et technique de qualité, intégrant l’humain, la simplicité et la passion au cœur de sa pédagogie.

 

Epouser la rigueur

Si le luxe est un monde en constante ébullition, si la créativité est au cœur du savoir-faire français, la conservation du patrimoine et la perpétuation des valeurs reste de mise. L’univers du luxe exige donc de la rigueur. Lorsqu’on travaille dans ce secteur, on le représente. A cette rigueur s’ajoute le sens du contact et du service, des qualités très appréciées des recruteurs qui font écho à l’humilité exigée. Alors oui à l’esprit artistique et à l’originalité, mais le luxe est un secteur au sein duquel les professionnels respectent les codes. 

 

(Source : l’Etudiant)